Les féministes rigoristes et totalitaires sont incapables d’accepter l’idée qu’une plaignante de sévices sexuels ou de violences conjugales puisse être une simulatrice et une menteuse. Or c’est le fondement même de #MeToo, de tenter de se substituer à la justice et d’instruire des procès médiatiques et/ou populaires sommaires. L’essentiel étant que ces néo-commissaires du peuples crient plus fort que les autres, qu’importe les dégâts.
Il s’agit de faire payer à tous les hommes l’Omerta en la matière qui a pu parfois exister. La faute serait collective.
Et donc la condamnation de Amber Heard leur reste en travers de la gorge. Elles boivent comme du petit lait le fait que Amber Heard ne payerait pas les 15.000.000 de dollars qu’elle doit à son ex mari.
Elle en voit même pas que la belle a menti effrontément déjà au moment de son divorce. L’actrice sans vergogne n’a pas donné les 7.000.000 de dollars versés par Johnny Depp à une œuvre de charité, alors qu’elle l’avait promis. Vous voyez le genre de femme qui réellement se moque de la charité et ne fait que des calculs qui l’arrangent.
Elles sont même partisanes de l’inversion de la charge de la preuve et de la présomption de culpabilité des hommes. Un recul vers l’obscurantisme le plus désuet.
Elles en sont encore aux vieux schémas marxistes qui ne voient les rapports entre les gens qu’en terme de lutte de pouvoir. Au stade où elles en sont, il s’agit de chasse à l’homme.
Plutôt que de reconnaître les faits jugés, le verdict de Amber Heard et les erreurs dangereues de #MeToo, Tarana Burke, la prétentieuse fondatrice du mouvement préfère condamner la justice :
- « Le mouvement #MeToo n’est pas mort, c’est le système qui l’est », assure-t-elle dans un message publié sur Twitter. « Le même système judiciaire dont vous avez toutes attendu justice (…) pendant des décennies sans jamais obtenir gain de cause.
- #MeToo : « Le verdict ne remet pas en cause les violences qu’a pu subir Amber Heard » … alors même que le verdict estime que ces prétendues violences n’étaient que des mensonges et qu’il y avait donc bien diffamation.
On croit rêver devant tant d’aveuglement. Aucune considération pour le préjudice d’images pour son public, pour sa famille, ou les freins de carrière, subis par Johnny Depp. On est vraiment dans la veulerie et l’insupportable avec ces féministes délirantes et quasi bolcheviques. Un vrai danger !
Eugénie Boilait est bien plus perspicace quand elle affirme sur le même sujet : « La justice doit se distancer des logiques binaires de MeToo»
