Pourquoi participer à un tel navet alors qu’on est Jean-Louis Trintignant et que 1969 est une année d’audace au cinéma ?
- L’Armée des ombres (1969)
- Easy Rider (1969)
- Macadam Cowboy (1969)
- Z (1969)
- Que la bête meure (1969)
- On achève bien les chevaux (1969)
- La Piscine (1969)
- Ma nuit chez Maud (1969)
- Les Damnés (1969)
- L’Enfance nue (1969)
- Le Chagrin et la Pitié (1969)
- Satyricon (1969)
- La Fiancée du pirate (1969)
- More (1969)
- La Voie lactée (1969)
- Scènes de chasse en Bavière (1969)
- Alice’s Restaurant (1969)
…
Des incompréhensions de couple, des coucheries, une intrigue policière capillotractée. Un titre aguicheur. Un Trintignant qui n’est manifestement pas à sa place. La barbe assurée ou même pire la gerbe.


Jean-Louis Trintignant
Carroll Baker
Erika Blanc
Horst Frank
Si douces, si perverses (Cosi dolce… Cosi perversa) réalisé par Umberto Lenzi
