Documentaire léger.
Billy the Kid un gamin qui a mal commencé dans la vie et qui a mal terminé dans la vie.
Au milieu une légende à multiples facettes. Tantôt considéré comme un bandit de la pire espèce, tantôt comme une sorte de Zoro redresseur de tort.
Il s’inscrit dans une époque ou la jungle du Far West n’était pas une légende.
Des groupes de propriétaires d’origine anglaise contrôlaient le Nouveau-Mexique. Lui et d’autres Irlandais avaient naturellement du ressentiment contre eux.
C’était le début de la photographie mais malheureusement nous sert et nous ressert toujours le seul cliché qu’on ait de lui. Dommage que l’on n’ait pas pu profiter des « portraits » de cet héros des tabloïds de l’époque. On écrivait en long et en large sur lui et donc forcément on a du en dessiner des avatars.
Le documentaire se veut factuel. Il n’est ni favorable ni défavorable au Kid.
Il n’apporte pas grand-chose sur l’époque, les mentalités, la psychologie et surtout la sociologie.
