Ce scénario « social », en forme de sous Ken Loach, est glauque.
On voudrait nous faire pleurer pour une pauvre expatriée ukrainienne (Margarita Breitkreiz), échouée en Allemagne.
Faudrait déjà qu’elle arrête de faire cette consternante tronche.
- Je suppose que cette gueule d’enterrement est le nouveau sourire validé par les féministes punitives.
Les malheurs incessants de cette pauvre Sophie ne sont pas si passionnants que cela.
Elle vole, elle fait des turluttes pour payer son loyer. Elle rêve d’avoir son salon de coiffure à elle. Opportuniste elle passe de mec en mec. Et on voudrait nous convaincre que le dernier est le bon.
Il y a de sombres petits trafics dans ces franges peu glorieuses de l’immigration cosmopolite et de leurs exploiteurs.
Ce cinéma grisâtre et sans musique est juste désespérant. Mais pas assez pour qu’on compatisse.
Un bon documentaire aurait mieux fait l’affaire.
https://en.wikipedia.org/wiki/Marija_(film)
- Margarita Breitkreiz Une Marija qui vient de Omsk ex Union soviétique.
- Georg Friedrich
- Sahin Eryilmaz
- Olga Dinnikova
- Georges Devdariani
- Dmitri Alexandrov