Mon nom est Pécos (1968) western ni kitsch ni culte 2/10

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On croirait à une mauvaise blague. A moins que ce soit une tentative « sérieuse » de réalisation du western le plus foireux de l’histoire du cinéma. Il y a des aficionados masochistes pour le genre kitsch-culte au far west.

Côté musique on est servi également avec l’inénarrable chanson “is name is Pécos… “. Méfiez-vous, une fois que c’est dans la tête, vous êtes mal.

Article refait sur : Avis. Mon nom est Pécos – western Lucidi (1968) ni kitsch ni culte 2/10 – Résumé. Aperçu

L’année a vu l’éclosion de rares bons films, mais aussi et surtout un lot incroyable de films paresseux et in-regardables.

Le pitoyable scénario de Adriano Bolzoni ne mérite pas qu’on s’y arrête. Desperados de l’écran, s’il vous plaît allez voir ailleurs.

Et dire que le réalisateur Maurizio Lucidi alias Maurice A. Bright a monté Le Fanfaron, de Dino Risi. Et il a été directeur adjoint de Pier Paolo Pasolini pour L’Évangile selon saint Matthieu. On ne sait plus à quel saint se vouer.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mon_nom_est_P%C3%A9cos

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