Vive la Polynésie française, ses chants traditionnels, son fameux ukulele, ses écoles de ‘ori Tahiti, et ces percussions à la Stomp.
Pour une fois le folklore n’est pas synonyme de racisme inversé moisi. Ce n’est pas un repli identitaire. Cette façon de faire a son autonomie et ses tenants cherchent à en faire profiter le monde entier. C’est avant tout une démarche de partage et d’ouverture. La musique et la danse ont ce pouvoir. Réjouissons nous.
On n’a plus le droit de dire que ces jolies jeunes femmes, qui se déplacent avec autant de grâce, sont extrêmement désirables. Pourtant de nos jours comme à l’époque de Paul Gauguin, c’est toujours le cas et on ne va pas briser nos élans en fonction d’une doxa débile. Au diable nos stupides extrémistes féministes avec leurs oukases castrateurs.
C’est aussi une entreprise rémunérée, mais cela ne me rebute pas du tout. Nos cigales ne vivent pas que d’amour, d’eau fraîche et de danses. Inutile de dire que je n’ai aucune action dans ce spectacle.
Dossier de presse :
Le Ta’upiti Ana’e, anciennement appelé le Heiva des Écoles, est le rendez-vous incontournable des écoles de ‘ori Tahiti, de chant traditionnel, de ‘ukulele et de percussions de Polynésie française.
Depuis sa création en 1994, à l’occasion des 2èmes jeux de la Francophonie, cet évènement, qui annonce les festivités du Heiva, n’a cessé de prendre de l’ampleur : de trois écoles inscrites la première année, il rassemble désormais plus d’une trentaine d’écoles tous domaines confondus.
Pour cette nouvelle édition du Ta’upiti Ana’e, programmée du 1 er au 11 juin 2023, ce ne sont pas moins de 32 écoles qui proposeront des spectacles hauts en couleurs sur la scène du Grand Théâtre, mais également sur la mythique scène de To’atā qui mettra en avant les écoles qui comprennent un grand nombre d’élèves inscrits.
L’implication de tous les artistes, costumiers, parents, accompagnateurs, danseurs, danseuses, musiciens et choristes, de tous âges, fait du Ta’upiti Ana’e bien plus qu’un événement incontournable du calendrier culturel polynésien, il représente une véritable institution !
Le public pourra découvrir et apprécier le travail d’une année de toutes ces écoles et c’est donc avec fierté que Te Fare Tauhiti Nui ouvrira ses portes durant deux semaines pour accueillir et accompagner tous ces artistes qui incarnent sans aucun doute la vitalité de la culture polynésienne.