The Babysitter – Avis film 1995 – Alicia Silverstone – Guy Ferland 2/10

Temps de lecture : 2 minutes

On ne compte plus les films et téléfilms qui utilisent cette appellation là. Il y a même des Babysitter I, II voire III.

Avec un tel titre on peut difficilement échapper à la malédiction, soit de la série B, soit du X.

Et là on a un mix des deux.

Côté X il y a ici cette belle innocente, Alicia Silverstone, pourchassée par des mâles libidineux et qui sera sauvée par le plus jeune et le plus prude d’entre eux.

  • On en “fabriquait” encore beaucoup des Baby Doll comme elle, à l’époque. La Lolita de Stanley Kubrick / Vladimir Nabokov c’était en 1962 / 1955. Et la Baby Doll de Elia Kazan est de 1956.
  • Mais celle de 1995 est gratinée. L’actrice Alicia Silverstone deviendra une végétarienne fanatique, qui pratique la pré-mastication des aliments avant de la fourguer dans le bec de ses enfants.

Les vieux bavent. Ils sont gros et porcins à souhait. Et quand ils sont en plus alcoolisés, ils deviennent bien salaces. Les plus jeunes rêvent et/ou entreprennent. L’idée est la même, coucher la petite dans son lit.

Le preux chevalier est du genre boutonneux et timide. Comme il est au point mort, il est vite contourné par un plus actif et plus retors que lui. Lequel l’instrumentalise pour poser (ses) sa banderille.

Côté thriller, il y a forcément le ressort émotionnel lié aux risques encourus par les belles poulettes isolées. Les scénaristes s’en donnent à coeur joie, avec une progression du suspense bien perverse. Cela peut aller jusqu’au crime cette petite affaire.

  • Une alternative consiste à faire de la baby-sitter une criminelle qui peut bien sûr aussi s’en prendre aux enfants.

Mais comment cela va se terminer cette histoire ?

On s’en contrefiche tellement cet espèce de téléfilm est mauvais.

https://fr.wikipedia.org/wiki/The_Babysitter_(film,_1995)

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