La pénible Angélina Jolie, qui doit avoir 2 ou 3 expressions dans sa valise d’artiste, ne peut nous donner plus que ce qu’elle a. Elle exhibe donc ses belles formes, sous toutes les coutures. Basta.
De mauvais à très mauvais !
Une sorte de James Bond féminisé, la libido du personnage en moins.
Dans ce premier opus, elle est moins bien maquillée que dans le deuxième, mais elle reste toujours aussi lippue. C’est embêtant, car je passe mon temps à me demander, s’il y a là dessous du collagène surajouté ou non.
Elle a le pouvoir (girl power). Elle a incontestablement les attraits de la séduction. Mais elle n’utilise aucun des deux pour son plaisir. C’est pour ainsi dire, délibidinisé. Cela rend l’héroïne passablement virtuelle. Faut dire que le caractère est issu d’un jeu vidéo pour ados boutonneux.
Elle se pose donc en acrobate, froide redresseuse de tort.
Dommage ! Mais peut-elle mieux faire ?
Autour d’elle, on observe des caractères caricaturaux, qui mélangent vulgarité et ce que la représentation populaire convenue, pense être de la classe. Un océan de conformisme et clichés.
C’est un film d’action et juste cela. C’est à dire que tout au long du film, ça saute dans tous les sens, ça bastonne, ça tire. Le tout constamment dans la précipitation.
Pas le temps de penser. Et c’est sans doute ce que recherchent les aficionados. Du réactif aux clics, de l’instinctif, avec de belles images.
Pour susciter l’intérêt profane, le premier scénario repose sur une conspiration de prétendus initiés, à la mode Dan Brown (2000), de grimaçants Illuminati qui manient un galimatias pseudo-ésotérique.
Le deuxième film de 2003 est franchement encore moins bon. Cette histoire qui se passe au Santorin, est confuse. Les situation et les personnages sont grotesques. Gerard Butler ne tient pas la rampe.
Les trucages de synthèse 3D ont déjà 19 ans. Et pourtant, c’est fou ce qu’ils sont achevés et convaincants. Cela ne nous rajeunit pas.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lara_Croft:_Tomb_Raider
Angelina Jolie
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