Avis. Didier Péron. Mauvais critique de cinéma. Libération refuge de la bêtise

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Comment un journal qui a eu jadis une certaine notoriété peut laisser dire tant de bêtises à un de ses critiques phares ? Sont-ils tellement terrorisés pour ne pas le mettre à la porte ?

Didier Péron parle sans beaucoup réfléchir. Et donc on assiste à un véritable festival de phrases à l’emporte-pièce. Son blabla révèle son manque total de clairvoyance avec principalement des jugements péremptoires et non étayés. Il n’y a pas une once d’intelligence là dedans. Ce ne sont que des a priori. Il a fait table rase de la culture.

Et cela ne date pas d’hier, ce Charlot sans humour sévit depuis des décennies.

Il est souvent pris de diarrhées verbales :

Il dit : «  moi personnellement j’aime beaucoup m’ennuyer ». Mais qu’est-ce qu’on en a à faire de cet étalage narcissique. Cela dit, c’est révélateur. Son manque de flair le pousse à favoriser le cinéma emm*** et à délaisser les œuvres majeures, trop compliqués pour lui.

Et notre assassin de la culture peut se permettre d’embrayer : « Les numéros nécros des artistes, par exemple, marquent un peu les esprits et se vendent bien. ». Voilà pour ce rat des cimetières.

Ce prétentieux a des vapeurs. Il est assez impudique pour se mettre en avant ainsi : « Je peste tous les ans contre Cannes, car ça me stresse… ». Le pauvre petit !

Sur Bertrand Tavernier :

En 2021 Tavernier nous quittait. L’incompétent Didier Péron en profite pour se monter du col.

Et Claude Askolovitch s’émeut à juste titre que : Le critique Didier Péron ose alors des mots cruels pour « un cinéma populaire mais parfois pesant » que Tavernier aurait incarné, cédant parfois à la « démonstration lourdingue »…

Sur la Neuvième porte de Polanski :

La palme de la bêtise vient à ce prétentieux de Didier Péron de Libération, qui ose en parler ainsi à sa sortie en 1999 : « Polanski prend la porte. Son dernier film est un ratage intégral. La Neuvième Porte devrait faire date dans l’histoire du merdouillage forcené et de la gabegie intégrale ».

Ces seules phrases suffisent à le disqualifier à vie. Et ce n’est pas juste une question de mauvais goût, mais de “malcomprenance” ; ce qui est une faute grave dans un tel métier, avec obligation de mise à pied immédiate.

Ouste, à la porte ! Et pas la neuvième, ni celle des artistes… et vingt-deux ans après, il est toujours là !

Sur Merci pour le chocolat de Chabrol.

Je l’avais cité dans les « critiques professionnels pas sérieux » – Rajoutant : curieux comme la critique se croit obligée parfois d’être élogieuse (*). Faisant ces complaisances là, ils sont les fossoyeurs du bon cinéma.

En effet, Didier Péron encense ce médiocre travail, avec ses mots creux :

« (…) Merci pour le chocolat est un must, une épure suisse démarquée d’un roman américain de Charlotte Armstrong que le cinéaste et sa coscénariste psy, Caroline Eliacheff, ont élagué, nettoyé, asséché (…)»

https://www.franceinter.fr/emissions/la-revue-de-presse/la-revue-de-presse-26-mars-2021

https://www.syndicatdelacritique.com/actualite/le-temps-de-la-reflexion

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