Avec ce David Burke, un employé revanchard, on entre dans l’étrange catégorie des meurtres-suicide ou suicide-homicides. Et pour ce faire, on doit compter sur l’action délibérée d’un occupant de l’avion.
A noter qu’ici le meurtre d’un des passagers est le crime prioritaire pour le tueur-suicide. Burke en voulait à son supérieur qui l’avait foutu dehors. Il a profité d’avoir encore les badges pour échapper aux contrôles et passer en douce un immense Magnum 44. Il tue son chef dont il savait qu’il volerait dans cet avion à cette heure. Il aurait pu en rester là et/ou se suicider. Mais après lui le déluge, et il a préféré emmené tout le monde dans sa « chute ».
- On a retrouvé l’arme en deux morceaux principaux, comme quoi c’est du solide.
« C’est moi le problème » sont les paroles enregistrées dans le cockpit, après que le pilote ait demandé à l’hôtesse ce qui se passait « c’est quoi le problème ? » – On est donc au moment où le méchant fait irruption dans la cabine et lui répond.
Dans cette sinistre catégorie on répertorie le Crash de l’A320 de Germanwings, celui du Vol EgyptAir 990 et ce tueur dans cockpit du Vol 470 Mozambique.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_Pacific_Southwest_Airlines_1771
