Cette série d’émission est bien faite. Mais « la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a ». Et vu à hauteur de reportage, il ne semble pas y avoir tant de merveilles que cela, dans cet édifice dédié.
C’est sans doute pourquoi le documentaire s’attarde tant sur les Jacques-Émile Ruhlmann et le Tamara de Lempicka.
Ce n’est de la faute à personne, d’abord il faut des moyens ce que ne peut peut-être pas fournir la bourgade de Boulogne-Billancourt. Ensuite il faut de l’espace et ces 3 000 m² ne sont pas les 60 000 m² du Louvre, surtout quand on gère de grands meubles et des statues massives.
Et puis franchement le peu qu’on voit n’est pas moche du tout. C’est certes disparate mais pas mal de pièces valent le coup. Et donc si pour une raison ou une autre vous passez par là, pourquoi ne pas vous arrêter un moment au musée des Années Trente de la ville de boulogne-billancourt
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C3%A9e_des_Ann%C3%A9es_Trente
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques-%C3%89mile_Ruhlmann
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tamara_de_Lempicka
https://www.boulognebillancourt.com/loisirs/culture/les-musees/musee-des-annees-trente-1