Rashōmon en japonais. Kurosawa. Toshirō Mifune.

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Les images sont belles et l’action soutenue. L’âpre Japon du tournant de l’année 1000 est bien rendu.

Le principe visant à donner plusieurs versions successives d’un même événement, n’est pas mauvais en soi. C’est une méthode toujours peu utilisée dans le cinéma, car assez déroutante.

Ces histoires de combats meurtriers, avec cette violence non contenue, ne me conviennent pas vraiment.

Autant le dire tout de suite, je n’en ai vu que le début car la VO est vraiment difficile à suivre. C’est un problème récurrent avec Film Box Arthouse. J’ai cherché vainement un logiciel de traduction vocale instantané japonais-français ou japonais-anglais. Rien qui ne fonctionne vraiment.

J’ai ouvert les sites de synopsis, mais cela ne suffit pas pour suivre cette intrigue à têtes multiples.

Le visage de Toshirō Mifune nous est bien connu, mais cela ne suffit pas. La belle Machiko Kyō est un autre pole d’intérêt.

On se reverra sans doute un jour Kurosawa et moi, mais pour l’instant, bien entendu, je ne peux pas décemment mettre une note. Venise l’a fait pour nous en octroyant le Lion d’or lors de la Mostra.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rash%C5%8Dmon_(film,_1950)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Akira_Kurosawa

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