American Cougars ou Cougar Hunting est un de ces films débiles pour adolescents boutonneux.
Un trio de loosers rame à faire venir à eux les gonzesses de leur âge. L’un d’eux, joué par un Matt Prokop à la sempiternelle mèche rebelle, est même puceau. Alors que la jeune femme qu’il convoite le trompe… parce qu’il ne voudrait pas avoir de ce sexe délassant comme une gymnastique, avec elle. C’est totalement faux, lui est prêt, même s’il préfererait que cela reste un peu romantique tout de même.
Des photos démontrent que la gredine se tape tout ce qui a un pantalon. Elle s’envoie des « vieux » ; comprenez des gars de 50 ans. Et elle couche même avec des hommes de la famille du jeune garçon ! Il tombe de haut notre Matt.
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Sous le coup de la frustration, ils s’embarquent tous à la station de sky de Aspen. Un repère de cougars friquées qui ne pensent qu’à se faire des minets.
Le « scénario », hallucinant de conn***, montre qu’elles penchent clairement vers le « quantitatif ». Des sortes de furies en chaleur, qui sont impressionnées par le saucisson que l’un d’entre eux a mis dans son slip. Derniers feux avant la DLC ?
Il reste des états d’âme de part et d’autre. Et le puceau rompt le pacte en couchant avec une jeune romantique (romantisme version américaine = mièvrerie) au lieu d’une vieille.
Les deux autres sont plus dans un trip de type faux seins outranciers, botox et acide hyaluronique sur mémés. Avec ce côté criard des contorsions arthrosiques de type pôle dance.
Bref une série de fantasmes grossiers mais qui devraient plaire aux onanistes désespérés et à tous les gros co*** qui peuvent bien s’identifier aux gros co*** à l’écran. On ne pas être poli avec un tel scénario. Et croyez moi, ces étalages de fantasmes à deux sous, cela ne fait pas rire non plus.
Robin Blazak est un réalisateur spécialisé dans ces attrape-nigauds sexuels.
Ne pas confondre avec The Cougar Hunt (1920) film muet sur la vraie chasse aux fauves.
