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Cette sorte de téléfilm date de maintenant, 2024.

Mise en garde : ne cherchez pas à toucher notre intimité gardez pour vous votre moraline à deux sous !

Shirel Peleg, Rosalie Thomass et Laurence Rupp : il a fallu deux filles et un homme complice au prénom féminin, pour venir à bout de ce sujet et cela se sent. Alors qu’il suffisait de suivre le livre éponyme.

Malgré quelques précautions, on voit bien les a priori exigés par ce sujet ultra-féminisé et wokisé En clair les mecs sont ici des pauvres co**. Et les femmes ont quasiment toutes les vertus. Mais il faut reconnaître une certaine sensibilité aux thèses masculines les plus antipodales, même si le but consiste à pouvoir mieux les contre-attaquer.

Ce n’est pas la première fois que je constate que le nouveau cinéma allemand est parfaitement docile. S’il reflète la société, alors on peut dire qu’elle est gagnée par l’ambiance américaine délétère du moment.

Chassez la romance « Nous Deux » et elle revient au galop.

Le film tente de nous faire avaler les fadaises des sexothérapeutes free-lance, tendance gourou. On est là dans le registre vulgaire et vulgarisateur façon Gérard Miller.

Et ceci est d’autant plus factice, que ce sont des comédiens, donc des menteurs professionnels, qui les interprètent. Rosalie Thomass on te connaît ! Et le couple naissant entre cette rosalie-thomass fanée et ce pauvre Laurence Rupp encore fringant, n’est pas crédible pour un sou. Le film est tellement linéaire et borné qu’on les voit venir de loin nos cocos. C’est une constante empruntée à Hollywood, plus tout les sépare au début, plus il y a de chance que se sera le couple élu.