Bisho. Pablo Giles, Adrián Ladrón impuissant. Diana Sedano féminité toxique. 7/10

Temps de lecture : < 1 minute

Le court-métrage, lorsqu’il est bien mené, est un exercice rafraîchissant. Le thème du chien du voisin qui aboie en permanence et qui sème la zizanie dans un couple, est bien illustré par Pablo Giles. Cela se passe à Mexico-city et cette petite séquence attirera l’attention sur ce réalisateur débutant.

L’acteur Mexicain Adrián Ladrón figure un de ces jeunes citadins, dont la surface a rétréci, par le féminisme woke latent. Ce n’est pas explicite dans le film, mais la résultante est bien visible et caractéristique. Il se couche donc devant la prétentieuse Diana Sedano, qui lui fait porter sur le dos, la désobéissance du chien de la résidence d’à côté.

Il aura tout essayé pourtant. Une fois que la « féminité toxique » l’a quitté, il cherchera même à se venger du chien en tentant de l’empoisonner. Mais il se rétractera et sauvera l’animal.

Pablo Giles se raconte bien dans cet entretien du festival de Clermont :

Envoi
User Review
0 (0 votes)

Laisser un commentaire