Ces comédies qui idéalisent Las Vegas, ne sont vraiment pas dans notre culture. Et pourtant les Américains ont tout fait pour exporter de sous-produit clinquant et débile ; un attrape nigaud basé sur les faux espoirs de gains.
Les plus lucides de nos concitoyens ne succombent pas à ces jeux d’argents. Par définition, vu le retrait opéré par les impôts et celui de la boite organisatrice, on a plus de chances de perdre que de gagner. C’est tout bêtement mathématique.
Mais que peut-on faire quand quelqu’un sombre dans cette folie. D’ailleurs il suffit de voir les gens dans les tabacs au loto, pour se rendre compte que ce sont souvent les plus humbles qui se font attraper.
- Un dimanche, à Vilnius en Lituanie, j’avais besoin de changer de l’argent. La seule possibilité alors, consistait à traverser une salle de jeu pour se rendre à la caisse. J’ai rarement vu des faciès aussi triste. Le mythe du joueur heureux et gagnant est totalement factice.
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Ce « coup de cœur » se veut auto-réalisateur. Mais franchement je suis ici plus coup de boules que coup de cœur. C’est de la romance « cheap » sur fond d’attrait / répulsion, fidélité / coucherie ,chez ces couples qui ont déjà un peu de bouteille.
Les chansons de Tom Waits contribuent à nous achever, en transformant ce navet en une sorte de comédie musicale sirupeuse.
Les acteurs de second plan, qui occupent les rôles principaux, Frederic Forrest et Teri Garr, font le service minimum.
Ce Coppola tout mité, fut un bide monumental. Ce qui ne m’étonne pas, j’ai toujours pensé que ce gros lard était surestimé.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Coup_de_c%C5%93ur
https://en.wikipedia.org/wiki/One_from_the_Heart
