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Les sites stupides se contentent d’un résumé de l’histoire, qui est toujours écrit ainsi :

« Un Boeing 767 à destination de l’aéroport international de Gimhae, en Corée du Sud, se crashe dans une colline à quelques kilomètres de la piste »

Et pour le reste, payez d’abord l’inscription… pour réaliser qu’il n’y a pas plus de contenu. Arnaque !

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L’affaire en question, toujours aussi bien traitée par les concepteurs de la série, est bien entendu plus complexe que cela. Elle a d’ailleurs des similitudes avec le Crash du mont Sainte-Odile. Ce lieu par ailleurs « magique » avec son mur païen, est situé près d’ici. Ce site et sa catastrophe sont évoqués dans le documentaire.

Les pilotes ont été surpris par une manœuvre de changement complet de direction à l’atterrissage d’un aéroport dangereux. Ils devaient aborder la piste directement, quand les conditions météo les a forcé à prendre l’autre sens et donc à faire une boucle in extremis. C’était pour eux la première fois en ces lieux.

Ils avaient un chronomètre à leur disposition et une liste de changements à faire dans de courts laps de temps. Toute étape ratée aurait du les inciter à interrompre la manœuvre. Ce qu’ils n’ont pas fait.

Ils ont préféré se fier au vol à vue alors que les conditions de visibilité occasionnées par un voile nuageux bas, ne le permettaient pas. Ils pensaient être plus haut et mieux placés. Ils ne bénéficiaient pas d’une avancée technologique récente sur leur détecteur de proximité du sol. Dans le cockpit régnait une totale désorganisation. Les uns et les autres ne connaissant plus leur rôle, ne regardaient pas les bons signaux au bon moment.

Ils se sont pris la colline toute proche. Il y a quand même eu des survivants. En particulier un guide avec les gens dont il avait la responsabilité, qui ont été déclassés et mis à l’arrière de l’appareil en raison de leur retard. Ceux là étaient furax dans l’avion au départ… mais bienheureux après le crash.

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Si la plupart des catastrophes aériennes ne laissent que des victimes, il est bien connu qu’en de rares fois, les passagers en queue d’appareil peuvent s’en sortir. N’hésitez donc pas à privilégier ces sièges.