Lazzarella. Avis mauvais film romantique. Terence Hill, Alessandra Panaro, Irène Tunc. 5/10

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Critique en deux parties :

Mario Girotti ne semble pas être un inconnu. Attention aux confusions possibles ! Vous voyez comme moi le spectre de Terence Hill. Il est normal qu’on puisse si facilement le confondre. Vu que c’est lui mais sous un autre nom. Il reste quelques films qu’on a critiqué ici, et où il figure en discrète position : les mauvais fabiola-sang-des-martyrs et le tresor-des-montagnes-bleues, hannibal, et le classique dernier-tango-a-paris…

  • Pour compliquer le tout, vous pourriez tomber sur Franco Nero, qui est le parfait sosie de Terence Hill.

Dans Lazzarella, ce Mario a le premier rôle. C’est un très beau jeune homme. Il est non seulement séduisant mais encore un étudiant travailleur. L’archétype du gendre idéal, sauf que… il est issu d’un milieu pauvre et sa petite pétrolette ne fait pas le poids face aux bolides italiens des playboys de circonstance.

Sa modeste famille se résume à une mère superstitieuse. Mais il y a une sorte d’extension à la famille voisine, dont la mère, également veuve et fétichiste, voudrait bien voir le prometteur Mario Girotti et futur Terence Hill, se marier à sa fille, pourtant si peu désirable.

Alessandra Panaro, qui vit ici dans une famille très aisée, fait plutôt oie blanche. C’est elle la Lazzarella éponyme. On devrait lui trouver du romantisme mais elle a quand même ses petits petons sur terre.

Cette petite blondinette me semble manquer sérieusement de sex-appeal. Je n’aime pas trop ces personnages qui font la leçon en permanence, du haut de leur petit âge et de leur abyssale ignorance. Elle a beaucoup tourné en Italie et est bien moins célèbre chez nous.

Rossella Como est un faire valoir. Elle prendrait bien les restes que semble avoir laissés la Lazzarella

La particularité de cet épisode de série rose, c’est qu’il s’aide de la chansonnette. Laquelle vient illustrer les situations romanesque. C’est le modus qui sou-tend les opérettes. Conformisme, légèreté et mélodies joyeuses.

C’est un film chantant et pas tout à fait une comédie musicale. Mais l’esprit est bien là. On « connaît la chanson », et « tout se termine par des chansons ».

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Critique en deux parties :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alessandra_Panaro

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lazzarella_(film)

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