L’académie est discréditée. Les audiences bernes, cela n’intéresse plus grand monde. Et il y a une inadéquation entre les choix d’une certaine partie de la profession et les envies des spectateurs.
Il faut dire que ce genre de cinéma oscarisé semble se reproduire sans arrêt. On a quasiment le même film et les mêmes expressions exagérées des acteurs primés. A se demander si certains longs-métrages ne sont pas fait avec des arrières pensées de statuette dorée.
Le tournant woke délibéré impose des contraintes de genres et représentation des minorités à un très proche horizon. On sera désormais avec un nouveau code moral Hays, si on veut concourrir. Voilà de quoi achever complètement la création.
On a été cherché dans nos critiques les oscarisés dignes d’intérêt et parfois les pires.
Juste un exemple très récent du pire :
Voilà passons à mieux que cela :
https://librecritique.fr/les-nuits-de-cabiria-1957-8-5-10-giulietta-masina-prostituee/
https://librecritique.fr/les-chemins-de-la-haute-ville-1959-7-10-simone-signoret/
